Hauterive
La maison d'Hauterive à étais construite vers 1870.
Photo datant de 2004 avec Micheline devant (la mlain devant les yeux), à l'époque le toit était en ardoisse cloutée, donc très difficile à réparer, devant les immonbrables fuites, papa à décider de le refaire en tuile.
Cette maison est un des berceau de la famille Tertois. Elle a toujours été un point d'attache. Pour Raoul, Yvonne et Irène Tertois, elle servit notament de lieu ou l'on stockait les choses dont on ne' voulais plus à Paris.
Un week-end du printemps 1958 (juste après notre retour d'Alger), nous fîmes une expédition à Hauterive. Il y avait papa et maman et tous les enfants (7 à l'époque) ainsi que Nicoile et Michka Berger ainsi que Denis et Mireille Tribout.
En arrivant nous découvrons plus un dépotoir qu'une maison, la grande pièce était cloisonnée par des paravant ayant perdus une partie de leurs pieds, ils étaient donc suspendus au plafond par des ficellles !
Il y avait plusieurs vielles cuisinières inutilisables. On a donc entrepris de sorir tous ce bric à brac. Au fond du jardin il y avait une ancienne mare sans eau (le fond était sans doute percé. Eh, bien voilà l'endroit idéal pour stocké tout ce matériel.
A partir de ce momment, cette maison "les MÂNIS" allait devenir le lieu privilégié des vacances scolaires, hormis les vacances de Noël, puisque Françis nous a offert en 1957 les sports d'hiver au Grand Bornand.
est un des centres de la vie familliale.
Les mânis
tante Irêne
Les chabots, Héloin, Mabille, Croisé, Lair
Photo datant de 2004 avec Micheline devant (la mlain devant les yeux), à l'époque le toit était en ardoisse cloutée, donc très difficile à réparer, devant les immonbrables fuites, papa à décider de le refaire en tuile.
Cette maison est un des berceau de la famille Tertois. Elle a toujours été un point d'attache. Pour Raoul, Yvonne et Irène Tertois, elle servit notament de lieu ou l'on stockait les choses dont on ne' voulais plus à Paris.
Un week-end du printemps 1958 (juste après notre retour d'Alger), nous fîmes une expédition à Hauterive. Il y avait papa et maman et tous les enfants (7 à l'époque) ainsi que Nicoile et Michka Berger ainsi que Denis et Mireille Tribout.
En arrivant nous découvrons plus un dépotoir qu'une maison, la grande pièce était cloisonnée par des paravant ayant perdus une partie de leurs pieds, ils étaient donc suspendus au plafond par des ficellles !
Il y avait plusieurs vielles cuisinières inutilisables. On a donc entrepris de sorir tous ce bric à brac. Au fond du jardin il y avait une ancienne mare sans eau (le fond était sans doute percé. Eh, bien voilà l'endroit idéal pour stocké tout ce matériel.
A partir de ce momment, cette maison "les MÂNIS" allait devenir le lieu privilégié des vacances scolaires, hormis les vacances de Noël, puisque Françis nous a offert en 1957 les sports d'hiver au Grand Bornand.
est un des centres de la vie familliale.
Les mânis
tante Irêne
Les chabots, Héloin, Mabille, Croisé, Lair